[Lettre de Laporte-Bisquit à De La Croix du 27 août 1905]

Transcription

2[7?] août 1925

Mon cher Père

Merci de votre affectueux et interessante lettre_ Nous donnons toute approbation aux instructions que vous donnez à Beaunard, et je ne puis qu'accepter en vous remerciant votre proposition de faire un travail sur notre restauration. Nous avions du reste toujours pensé que ce serait le couronnement naturel de notre entreprise à laquelle vous avez pris tant de part_ C'est donc entendu.

Je commence à aller un

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peu mieux de mon estomac et je ne souffre plus, mais je suis encore bien amaigri et bien faible, et pour comble ce changement de temps qui nous amène de la pluie et du froid a réveillé mes douleurs de goutte_ J'ai la main enflée et douloureuse, ce qui me gêne pour écrire, et j'ai les coudes et l'épaule pris aussi_ Enfin, il faut se contenter de peu, accepter l'amélioration [interne?] en attendant le reste.

J'envie votre bonne santé, et votre robuste vieillesse.

Veuillez agréer, mon

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mon cher père, l'expression de mes affectueux sentiments et de mon respect.

M. Laporte Bisquit