St Cybardeau, 27 juin 1902
Mon Révérend Père
Depuis votre dernière visite, je n'ai fais aucune nouvelle découverte. Je ne suis pas encore au bout du mur circulaire, mais dans la grande chambre contigue à ce mur, il existe une ouverture qui a été condamnée probablement au moment où on a construit le four.
La grande façade est complètement en [maconnerie?] et en joint, j'occupe mes maçons à faire le glacis.
Il n'y a plus que l'angle du mur que vous m'avez dite de faire nettoyer à terminer la maçonnerie, ce qui va nécessité 3 journées d'homme.
Cela terminé, je ne sais plus où faire travailler mes maçons, il y en a un que je ne peux employer ni aux joints ni au glacis.
Je vous prie donc, mon Père, de me dire où je dois les mettre, dans
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les chambres de droite. Elle sont si avariées que je serais désireux que vous seriez sur les lieux pour me donner des instructions.
Je ne vois guère que les niches de gauche que je puisse faire faire sans votre précieux concours. A propos de ces niches, vous devez avoir présent à la mémoire, mon Père, qu'il y a une porte dans le couloir ; et bien j'ai j'ai été assez curieux pour la découvrir et j'y ai trouvé un mur qui traverse le couloir.
D'après mes maçons, les deux petites barbacanes que nous croyons être des ventillateurs de cave, auraient été faites postérieurement à l'autre construction, dans ces conditions il n'y aurait rien de surprenant que des caves existeraient comme nous le pensons bien.
Mr et Mme Laporte rentrent
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demain samedi de Paris, il est presque certain que j'aurais leur visite lundi ou mardi et je serais bien heureux si vous pouviez vous joindre à eux parce que votre présence pourrait être bien utile sur bien des points, surtout au point de vue de l'occupation de mes maçons.
Je vous prie, Mon Révérend Père, de me dire un mot sur ce que vous croyez que je dois faire.
En attendant le plaisir de vous revoir bientôt, je vous prie de recevoir de moi et des miens nos meilleurs souvenirs et bien sincères salutations que nous avons l'honneur de vous présenter, toujours votre tout dévoué.
Beaunard J
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St. Cybardeaux, 27 juillet 1902, 6 h. soir
Mon Révérend Père,
J'ai l'honneur de vous rendre compte de la situation des travaux. Je les fait exécuter le plus rapidement possible, les déblais sont, je crois, en bonne voie, en ce qui concerne les nivaux, j'ai pris pour base l'escalier du haut bien que le mur d'enceinte ait une partie de ses joints à une grande profondeur près du four.
Je trouve toujours le mur circulaire de soutainement.
Les maçons ont fini les joints et les glacis; maintenant je leur fait faire les maçonneries des chambres de droite, et dès que vous serez venu visiter le chantier, je les mettrai aux niches de gauche et à l'entrée du même côté, de façon à faire restaurer cette partie avant l'hiver.
Au dessous des fondations des chambres
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de droite, je trouve du creux, c'est à dire, plusieurs petits trous, j'y ai fait glicer quelques petites pierres et par ce moyen j'ai acquis la certitude d'un vide très profond.
Dès demain, je vais y mettre un homme pour y faire un sondage de manière à me rendre compte ce qu'il peut y avoir, qui sait ! le hasard est si grand, si nous y trouvions des caves ; je ne le crois guère, mais j'aurai la satisfaction d'être fixé.
Si je trouve une surprise, je vous aviserai aussitôt, mon révérend Père ?
Puisque vous nous avez promis de revenir à la fin du mois courant, nous y sommes bientôt. A quand donc votre arrivée, le plus tôt possible, nous l'espérons :
En attendant, nous nous joignons tous pour vous présenter nos respects et bons souvenirs, toujours dévoué.
Beaunard J
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St. Cybordeaux, 5 août 1902
Confidentielle
Mon Révérend Père,
Au reçu de votre télégramme d'hier, nous avons été et sommes encore bien peinés d'apprendre que vous ne pouviez venir pour cause de maladie. Nous faisons des voeux bien ardents pour votre prompt rétablissement.
Aujourd'hui M. et Mme Laporte sont venus aux fouilles et comme d'habitude il y a eu plusieurs objections et toujours pour les maçons.
J'ai fait réparer les niches de gauche et fait faire les joints, ainsi que remonter de 15 centimètres au dessus de la terre, le mur que nous avons trouvé dans le couloir en cherchant des caves.
Alors c'est là où a été engagée la polémique, et finalement, comme toujours, du reste, j'ai été contraint de
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m'incliner. Mais ce n'est pas tout? de là, j'ai parlé de l'entrée de gauche, celle que vous m'avez si bien recommandé à votre dernière visite et là comme ailleurs j'ai eu un refus formel d'y faire toucher.
Par conséquent, mon révérend Père, je vais faire terminer les joints des chambres de droite et ensuite je remercierai les maçons à moins cependant que votre état de santé vous permette de venir d'ici 5 jours ne serait-ce que pour 24 heures, car votre présence est de toute nécessité pour combler bien des lacunes et me facilliter dans ma tâche.
Dans l'espoir que ma lettre va vous trouver en meilleure santé, je vous renouvelle, mon Révérend Père, tous nos meilleurs souhaits avec les bons souvenirs de vos tous dévoués
Beaunard J
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St Cybardeaux, dimanche
Mon Révérend Père,
Votre lettre du 12 courant a été bien sensible pour nous car nous l'attendions avec grande impatience, mais heureusement que quoique tardive elle a été bonne messagère puisqu'elle est venue mettre fin à notre inquiétude. Nous espérons maintenant en recevoir bientôt une autre pour nous annoncer votre arrivée.
J'ai licencié les maçons, hier. Je suis navré de cette décision vu l'utilité de maintenir les substructions qui, je crois ne résisteront pas aux rigueurs de l'hiver.
Les fouilles dont Mr Laporte
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vous a parlé, ne sont pas très sérieuses, elles ont été faites dans le but de trouver des murs pour savoir quelles constructions il pouvait y avoir ; et en effet j'ai trouvé deux chambres et trois couloirs, deux ont 1 mètre de large et l'autre 2 mètres 40 cm.
J'ai trouvé les angles des chambres, quant à ceux des couloirs ils sont dans les bois voisins à droite et à gauche.
Je ne crois pas que des fouilles y aient été faites encore, les beaux appareils de maçonnerie que j'y ai trouvés me donnent cette pensée.
J'ai trouvé des fragments de poterie, des clous, des tuiles, de très jolis morceaux de verre, une
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monnaie romaine un peu fruste et enfin un petit bibelot, avec un bonhomme, en terre rouge, je l'ai remis à Mme Laporte et elle croit que c'est un cachet.
J'ai abandonné ces fouilles si on peut les appeler fouilles, parce que pour mois ce sont des sondages d'étude, nous les reprendrons plus tard. Je continue le déblaiement du théâtre.
J'ai fait faire tous les joints et glacis des chambres de droite, ainsi que les deux niches de gauche et mis apparent le mur que nous avions mis à jour en cherchant les soit disant caves.
Malgré toutes les entraves que j'ai rencontrées pour mes maçons, j'ai fait faire les joints
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du four nouvellement découvert.
Je vous expose, mon révérend père, l'état actuel des travaux.
Permettez-moi, mon père de vous dire d'avoir la plus grande prudence pour votre santé et nous de notre côté nous nous sommes assurés d'un moyen de transport pour vous conduire aux fouilles parce que vu votre grand âge et votre état de santé nous ne voulons plus vous laisser faire ce chemin à pied.
En attendant le plaisir de vous revoir bientôt, ma famille et moi avons bien l'honneur de vous présenter nos respects et bons souvenirs.
Beaunard J
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15 sept. 1902
Théâtre Gallo Romain des Bouchauds
lundi
Mon Révérend Père
Je commence à être inquiet de votre état de santé, sur votre dernière lettre vous m'avez dit que vous étiez convalescent et que vous pensiez venir avant longtemps visiter les travaux.
Or, je suis porté à croire que votre santé s'est altérée puisque je ne reçois aucune nouvelle.
Je vous demande un mot pour me tranquilliser.
Je n'ai pas vu Mr et Mme Laporte depuis le 5 août et mieux que cela je ne sais pas où ils sont, cependant je les crois dans le Limousin.
Mme Laporte m'a écrit il y a 8 jours elle m'a dit de cesser les travaux le 15 octobre, seulement si le mauvais temps continue comme depuis 5 ou 6 jours, je les terminerai à la fin du mois.
Je regrette bien que nous ayons
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ce mauvais temps de pluie, sans cela j'aurais terminé le déblaiement de la cuvette du théâtre.
Les trous d'égouts que j'ai fait faire par les maçons sont de grande utilité, ils reçoivent l'eau en quantité.
Les glacis sont d'une solidité parfaite.
Si votre santé vous permet de supporter le voyage, je serais content de vous voir avant la fin de la saison pour que nous décidions pour le chemin de ceinture et pour que vous puissiez inspecter les travaux en général parce que s'il y a des petites modifications à faire avant l'hiver pour la conservation des substructions, je pourrai les faire pendant que j'ai des hommes.
En attendant ce plaisir, j'ai bien l'honneur, Mon révérend Père, de vous présenter pour les miens nos souhaits de
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bonne santé et respectueux dévouement.
Beaunard J
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St Cybardeaux, 29 novembre 1902
Mon Révérend Père
J'ai eu la visite de Mme Laporte le 8 courant seulement, elle n'était pas venue voir ses fouilles depuis le 7 août, elle est donc restée 3 mois sans venir.
Mais aussi, elle s'est montrée très satisfaite à tous égards.
Lorsqu'elle est venue il pleuvait depuis plusieurs jours et les joints, brunis par la fraîcheur n'avaient plus la teinte blanche d'argent mat, son attention s'étant portée sur ce point elle en a été ravie.
A dire vrai, la teinte est bien changée depuis que vous ne les avez vus.
Nous avons eu quelques bonnes gelées mais aucun joint n'a bougé.
L'écoulement des eaux s'effectue très bien partout, et aucune substruction n'est en danger de pluie, sauf celles où
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les joints ne sont pas faits.
Le chemin de ceinture est commencé, mais je ne crois pas pouvoir le faire à 1 mètre de profondeur comme c'était convenu, le sol Romain me paraît moins bas, ou du moins, à en juger par les pierres et le sable provenant de la maçonnerie, que nous trouvons à 60 ou 70 centimètres de profondeur ; dessous ces matériaux nous trouvons la terre vierge.
Dans cette couche de démolition nous avons trouvé quelques objets, tels, deux pics en acier avec douille pour les fixer au bout d'une flèche, une broche en cuivre du diamètre d'une pièce de 2 F. elle était ornée d'un brillant rouge, ou du moins à en juger par le peu qui est encore visible.
Quant aux constructions découvertes
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au dehors du théâtre je ne puis pas en dire long, parce que je n'ai fait travailler que 12 journées à cause du mauvais temps, j'ai seulement découvert un mur qui a 11 mètres de long, et formant une chambre avec celui d'enceinte du théâtre. Néanmoins, je crois pouvoir dire, sous toute réserve, que ces constructions seront les pendants de cette verrue de droite, qui nous a créé tant de tâtonnement dès le début.
Madame Laporte m'a écrit hier, elle me dit qu'elle part pour Paris, aujourd'hui samedi, elle me demande où j'en suis de mes travaux qui, me dit-elle, vont être très intéressants. Ce mot, très intéressants, me prouve encore une fois de plus! qu'elle est contente?
Je lui ai accusé réception et lui ai annoncé la trouvaille d'un pic que
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je ne lui avais pas encore signalé, et je suis persuadé que ma lettre ne la mettra pas de mauvaise humeur.
Nous espérons, mon Révérend Père, que votre santé ne s'est pas altérée depuis votre dernier voyage, dans cette espoir, permettez-nous mon père de vous présenter les respects et humbles salutations de tous et en particulier de votre tout dévoué
Beaunard J
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St Cybardeaux, 13 janvier 1903
Mon Révérend Père,
J'ai l'honneur d'accuser réception à votre très flatteuse lettre que je viens de recevoir à l'instant.
Elle ne m'avance de rien parce que je voulais vous écrire aujourd'hui même pour vous signaler le nouveau que j'ai appris depuis que je vous ai écri. (Le voici)
Tous près de chez Boiteau, où vous êtes allé avec M.M. Gourgues et Martin voir une fontaine romaine ; on vient d'y découvrir en labourant un chaume, un tombeau en pierre tendre d'Angoulême , dans ce tombeau il y avait des ossements ; - Inutile de vous dire que cette trouvaille a fait du bruit dans la région
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Dimanche dernier je suis allée voir cette découverte, et regardant aux environs j'en ai vu un second puis un troisième, enfin j'ai appris par les spectateurs qu'en ce même chaume on en avait découvert 3 ou 4 il y a quelques années. Alors il n'y a donc plus aucun doute, c'est un cimetière qui, peut-être pourrait contenir quelque chose de très intéressant. Du reste, vous le comprenez mieux que moi.
J'écris à Mme Laporte pour le lui apprendre, peut-être pourra-t-elle s'y intéresser. Maintenant parlons de nos fouilles !
Les joints ont bien soutenus aux fortes gelées du mois de
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décembre ; tout est bien conservé. Je fais toujours continuer le déblaiement des substructions qui sont au dehors du théâtre, nous trouvons de très grosses pierres, ce qui fini de me convaincre que cette partie n'a dû jamais être fouillée, sans cela le chaufournier ne les aurait pas laissées.
Le mur d'enceinte du théâtre est découvert à 1m 50 de profondeur et nous trouvons toujours les joints faits au fer.
Nous avons trouvé un nouveau mur dont le haut est adosé à une énorme pierre qui semble être enterrée de 1 m de profondeur.
Nous croyons être en présence d'un grand trou assez profond, mais par prudence, je vais y faire faire un sondage pour bien m'assurer
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si ce prétendu trou ne serait pas une entrée de souterrain, voir même une cave parce que, à mon point de vue, tous ces murs étaient des habitations, une autre idée, il pourrait très bien se faire que cette concavité soit due à ce que les matériaux ne se sont pas bien entassés dans leur chute.
Je n'en parle pas à Mme Laporte, avant d'être sur de ce que c'est, et à vous mon père, je vous en parle à titre gracieux, mais si quelque chose il y a je vous tiendrais au courant. Quant à vos jalons ils sont en lieu sur et ne risquent rien.
A propos de la découverte des tombeaux je crois mon Révérend Père que vous feriez peut-être bien, d'en dire un mot à Mme Laporte, comme archéologue vous avez une très grande influence sur la famille
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et celon moi votre conseil pourrait porter son fruit pour les décider à affermer le terrain qui peut avoir une contenance de 3000 mètres carrés et je suis persuadé qu'on le louerait à vil prix.
Si je me permets de vous dire cela, mon Révérend Père, c'est que je crois bien faire, en vous faisant naître cette idée si vous ne l'avez déjà du reste. Mme Laporte comprendra encore une fois que vous lui portez intérêt dans l'exécution de ses fouilles.
Et maintenant quand viendrez-vous prendre connaissance de mes petit
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travaux exécutés depuis votre dernier voyage.
Je serais pourtant bien content de vous voir à ce sujet pour avoir le plaisir de recevoir vos ordres et entendre vos si précieux conseils qui jusqu'ici ont été pour moi, si agréables, dans l'accomplissement de ma tâche si difficile dès le début.
En attendant le plaisir de vous revoir, Mon Révérend Père, des miens et de moi, l'assurance de notre profond dévouement à vous bien respectueux.
Je n'oublie pas Edgard qui me recommande de vous présenter ses salutations et bons souvenirs.
Votre fidèle serviteur
Beaunard J
Mr Gourgues doit aller vous rendre visite prochainement s'il ne l'a déjà fait.
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St Cybardeaux, le 18 mars 1903
Mon Révérend Père,
Merci de votre aimable lettre qui est venue atténuer notre inquiétude.
Nous sommes désolés de vos souffrances, mais nous espérons et souhaitons votre prompt rétablissement, car permettez-moi, mon père, de vous dire que le temps nous semble bien long depuis votre dernière visite.
Enfin puisque votre santé ne vous permet pas de venir d'ici quelques jours, je vais vous exposer où j'en suis avec mes petits travaux d'hiver.
Notre chemin de ceinture est déblayé jusqu'à l'axe du théâtre, malgré le tâtonnement de toutes les difficultés que j'ai eues avec les murs que j'ai mis à découvert.
Saut de page
Par ma lettre du 13 janvier dernier, je vous ai annoncé que nous avions aperçu un trou entre le mur d'enceinte et un mur parallèle, j'y ai fait faire un sondage qui m'a amené la découverte d'une barbacane, selon mon idée ce n'était autre chose qu'un écoulement d'eau qui devait traverser le théâtre par un dallage.
Comme je ne peux pas aller plus avant avec mon chemin de ceinture, j'occupe mes hommes à faire descendre les terres que nous avons laissées à la fin de la saison, et hier ils m'ont découvert un rang de gradins de 10 mètres de long, au dessus du mur circulaire.
Cette découverte qui a une
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très grande importance pour nos nivellements, doit nous amener à croire qu'il y a eu des gradins dans ce théâtre et non des banquettes en terre, comme nous le croyons dès le début des travaux.
Je vous dis donc, Mon Révérend père, à bientôt, en attendant nous avons l'honneur de vous présenter nos respects et meilleurs souhaits de prompte guérison, toujours dévoué à vous.
Beaunard J
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St Cybardeaux, 27 août 1904
Mon Révérend Père,
J'ai l'honneur d'accuser réception à votre très estimée que je reçois à l'instant ; j'en suis d'autant plus heureux que Mme Laporte est venue hier 26 et aujourd'hui, je voulais vous l'annoncer.
Mais avant permettez-moi de vous exprimer tous mes regrets que vous ayez été souffrant pendant un laps de temps de six semaines, et le plaisir que j'éprouve de vous savoir en bonne santé maintenant, car je me plais à parler de votre grande valeur aux nombreux
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visiteurs qui viennent tous les jours.
Maintenant parlons des travaux. - Les nivellements sont terminés, j'attends la pluie pour semer mes luzernes.
Les maçons ont réparés toute la partie de gauche ; la niche de l'entrée de droite est refaite, ils sont au mur d'enceinte et il sera bientôt terminé.
Je vais continuer par les talus du chemin de ceinture vers le cabanon et je pense terminer ainsi ma campagne bien que j'ai encore 900 f. à dépenser sur mon budget.
Mr et Mme Laporte n'étaient
Saut de page
pas venus depuis votre dernière visite du 18 juin, et hier Mme Laporte est venue seule elle a visité en entier les travaux, elle n'a fait aucune objection de leur exécution, au contraire elle a paru satisfaite ; elle a trouvé les nivellements bien faits et le coup d'oeil lui a été agréable.
Je lui ai dit que je serais content de vous voir pour les niveaux de la scène, elle m'a dit qu'elle voulait se trouver avec vous et qu'il fallait attendre un mois parce qu'elle part dans le Limousin.
Saut de page
ils sont arrivés de Suisse il y a 8 jours, ils étaient partis le 14 juillet.
Croyez mon révérend Père aux bons souvenirs de ma famille et de moi, l'assurance du plus profond dévouement envers vous.
Beaunard J
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